CBC News - Selon le nouveau rapport du GIEC, les changements climatiques pourraient coûter - et coûtent - aux Canadiens
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La publication d'un nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ("Climate Change 2022 : Impacts, Adaptation and Vulnerability") est l'occasion de mieux comprendre les coûts du changement climatique pour les communautés du monde entier. Un article récent du service scientifique de CBC News replace ces impacts et ces coûts dans le contexte canadien, dans quatre catégories importantes : incendies de forêt, villes/inondations, production alimentaire et santé des populations autochtones.
L'équipe de Canada 1 Water est toujours à la recherche de partenaires pour l'aider à traduire les résultats de ses prévisions hydrologiques intégrées en mesures pertinentes pour la société. Le projet nous aidera à comprendre exactement comment les conditions climatiques futures (c'est-à-dire les sécheresses et les tempêtes violentes) auront un impact sur l'humidité du sol, le niveau des eaux souterraines et le débit des cours d'eau à travers le Canada. Mais nous avons besoin d'un ensemble diversifié de partenaires pour nous aider à quantifier les impacts de second ordre sur les systèmes de production alimentaire, la santé des populations autochtones, la santé des forêts, les incendies de forêt et le marché du logement. Si vous souhaitez collaborer avec l'équipe C1W pour répondre à ces questions, n'hésitez pas à nous contacter(info@aquanty.com)!
"Le nouveau rapport indique que les incendies de forêt constituent le principal risque lié au changement climatique auquel le Canada est confronté. [Ce qui est pire, c'est que le rapport suggère que les endroits qui ne connaissent des incendies que tous les 400 ans en connaîtront une fois tous les 50 ans [ce qui] pourrait entraîner la perte de 459 milliards de dollars en foresterie d'ici 2080, les pertes les plus importantes étant enregistrées en Colombie-Britannique, en Saskatchewan et dans les Territoires du Nord-Ouest.
[L]es citadins sont confrontés à des défis qui leur sont propres. Le rapport constate que les villes nord-américaines sont déjà confrontées aux défis posés par le réchauffement de la planète, notamment la gravité et la fréquence des "risques induits par le climat" et des événements extrêmes, tels que les tempêtes violentes []. [Selon le GIEC, les inondations représentent 40 % des catastrophes liées aux conditions météorologiques depuis 1970, la plus coûteuse étant l'inondation de Calgary en 2013, qui a coûté 1,8 milliard de dollars en pertes d'assurance et 6 milliards de dollars supplémentaires en coûts non assurés.
Le rapport indique que les températures élevées et les phénomènes météorologiques extrêmes liés au changement climatique - tels que les sécheresses, les inondations et les vagues de chaleur - "limiteront de plus en plus la production agricole", y compris l'aquaculture et la pêche. [D'ici 2050, certaines parties de la Colombie-Britannique, de l'Alberta, de la Saskatchewan, du Manitoba, de l'Ontario, du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest connaîtront une pénurie d'eau pendant la saison de croissance.
En matière d'alimentation, les populations autochtones sont confrontées à certains des défis les plus importants. "