The Globe and Mail : D'abord les incendies, maintenant les inondations : Pourquoi la Colombie-Britannique est piégée dans un monde d'extrêmes climatiques
Les récentes inondations en Colombie-Britannique illustrent parfaitement la vulnérabilité de nos communautés aux effets du changement climatique, et l'article du Globe and Mail ci-dessous explique parfaitement la situation. Le projet Canada 1 Water devrait être d'une grande aide pour ceux qui s'attaquent à ces vulnérabilités ; le couplage d'HydroGeoSphere avec le modèle Weather Research and Forecasting (WRF) nous permettra de mieux comprendre comment les systèmes intégrés d'eau de surface et d'eau souterraine réagissent aux événements météorologiques extrêmes (comme la rivière atmosphérique qui touche la Colombie-Britannique aujourd'hui).
Vous trouverez ci-dessous quelques extraits de l'article. Vous pouvez également consulter l'intégralité de l'article sur le site du Globe and Mail.
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"Au cours de la vague de chaleur record qui a dévasté la Colombie-Britannique l'été dernier, sa population de plus de 5 000 habitants a subi des températures atteignant 44,5 °C. Peu après, elle a été frappée par la sécheresse et a fait l'objet d'une alerte d'évacuation en raison des incendies de forêt qui sévissaient à proximité. Lundi, un ordre d'évacuation a été émis pour toute la ville de l'intérieur de la Colombie-Britannique en raison d'inondations épiques."
"Il est très important de souligner le rôle que joue le changement climatique dans ce type d'événements", a déclaré Simon Donner, climatologue à l'Université de la Colombie-Britannique."
"Un temps plus chaud et des événements météorologiques extrêmes plus fréquents, y compris de fortes précipitations, sont parmi les résultats les plus régulièrement prédits du changement climatique dû aux émissions de combustibles fossiles générées par l'activité humaine. Cela s'applique certainement au Canada, qui devrait se réchauffer environ deux fois plus que la moyenne mondiale pour une série de scénarios climatiques."