Globe and Mail - Construire sur les plaines inondables des rivières s'est avéré coûteux et dévastateur pour les Canadiens.

Une nouvelle analyse du Globe and Mail (utilisant de nouvelles cartes des zones inondables élaborées par l'université de Western Ontario) révèle à quel point les villes canadiennes sont vulnérables aux inondations. En effet, dans plus de 30 villes canadiennes de plus de 10 000 habitants, au moins 10 % des bâtiments sont situés dans une zone inondable centennale, ce qui représente un risque même aujourd'hui. Mais comment les conditions hydrologiques évolueront-elles à l'avenir ? Quel sera l'impact du changement climatique sur les plaines d'inondation ? En fait, que signifie une inondation "centennale" lorsque le climat change ? Nous savons que le changement climatique augmente les précipitations extrêmes, alors comment pouvons-nous tenir compte de ces changements futurs aujourd'hui ? Ce sont toutes ces questions que nous espérons explorer dans le cadre du projet "Canada 1 Water".

Cliquez ici pour lire l'analyse du Globe and Mail.

Cliquez ici pour accéder aux nouvelles cartes d'inondation élaborées par l'Université de Western Ontario.

"Différentes communautés ont choisi différents niveaux de protection.Une norme commune est la crue centennale, c'est-à-dire une crue qui a une probabilité de 1 % de se produire au cours d'une année donnée. Mais de nombreuses municipalités, sociétés d'ingénierie et experts en atténuation des inondations considèrent qu'il s'agit là d'un strict minimum ; la plupart des zones urbaines du Canada se protègent en fonction d'une norme plus élevée de 200 ans, selon un rapport de 2016 du directeur parlementaire du budget fédéral. Le canal de dérivation de la rivière Rouge, qui protège Winnipeg selon une norme de 700 ans, se situe à l'extrémité supérieure"
- Matthew McClearn, Globe and Mail
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CBC News - Reconstruire ou se retirer ? Les communautés de la Colombie-Britannique font face à des choix difficiles après des inondations catastrophiques.

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